Michel Akermann 8 janvier 1920- 3 juin 2018
« Abattre un mur, c’est la première étape, c’est nécessaire, mais après il faut se rencontrer. C’est là où il faut avoir le sens profond des prêtres-ouvriers : on ne vient pas apprendre à connaître le monde ouvrier, on ne vient pas évangéliser le monde ouvrier, on vient rentrer dedans, « faire partie de ». Cela oblige à une certaine humilité. Prêtres-ouvriers, nous n’avons peut-être pas suffisamment échangé avec vous. Au moins en mon nom, je m’en excuse. Par cette présence, j’ai vécu un sacerdoce de témoignage de l’amour du Seigneur pour tous, je n’ai pas souffert de n’avoir pas ou peu été acteur de moyens d’Église. Cependant, j’ai conscience de ne pas avoir assez été témoin dans l’Église des richesses que m’a donné cette présence au monde ».
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